Auteur/autrice : Equipe de rédaction

Un total de 1.505 déclarations ont été reçues dans le cadre de l’opération Ex-MRE, qui a pris fin le 19 octobre 2016 et a permis aux anciens marocains résidant à l’étranger ayant transféré leur résidence fiscale au Maroc avant le 19 octobre 2015 de déclarer à l’Office des changes leurs avoirs et liquidités détenus à l’étranger.

Une majorité de la société civile américaine estime que les immigrés ne constituent pas prioritairement un problème mais au contraire un atout pour l’Amérique.

Cette somme, majorée de manière exceptionnelle, pourra être touchée jusqu’à la fin de l’année 2016 par les étrangers acceptant «volontairement» de repartir, a annoncé l’Office français d’immigration et d’intégration ce mercredi.

Comment freiner l’arrivée des mineurs marocains désireux de franchir la frontière ? C’est en somme la finalité d’une rencontre organisée à Melilia par le gouvernement autonome du préside…Suite

Le Président du « Conseil Français du Culte Musulman » (CFCM), M. Anouar KBIBECH, a été désigné Lauréat du Prix Galilée de la Paix pour le Dialogue Inter-Religieux pour l’année 2016.

Un homme blanc est épris d’une femme noire, qui lui retourne le même amour, au point qu’ils veulent se marier. Eh bien, qu’ils se marient! direz-vous. Pas si simple: l’histoire se passe il y a 60 ans en Virginie et, si on en parle encore aujourd’hui, c’est pour une bonne raison.

Cette somme, majorée de manière exceptionnelle, pourra être touchée jusqu’à la fin de l’année 2016 par les étrangers acceptant «volontairement» de repartir, a annoncé l’Office français d’immigration et d’intégration ce mercredi.

Une majorité de la société civile américaine estime que les immigrés ne constituent pas prioritairement un problème mais au contraire un atout pour l’Amérique.

Le futur secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a donné le cap de son mandat concernant la gestion migratoire, mardi 22 novembre, à l’occasion du sommet « Europe vision Summit » organisé à Lisbonne par huit laboratoires d’idées européens.

L’élection de Donald Trump au terme d’une campagne durant laquelle il a tenu des propos racistes, xénophobes et clivants porte en germe le risque de violences à caractère raciste qui pourraient tourner mal.