L’évacuation de la « Jungle » de Calais, vaste campement précaire de milliers de migrants dans le nord de la France, a commencé lundi en début de matinée, avec l’espoir de tourner la page de ce symbole de la crise migratoire qui touche l’Europe.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Rodrigo et Jose avaient marché sous une chaleur de plomb pendant quatre jours dans le désert de Sonora, presque à court d’eau, quand la police des frontières les a repérés en Arizona, dans le sud-ouest des Etats-Unis.
Après une semaine qui a vu quelque 8.500 migrants secourus au large de la Libye et au moins une cinquantaine de morts ou disparus, l’Italie se prépare à accueillir ces nouveaux arrivants, avec une inquiétude particulière pour les nombreux mineurs non accompagnés.
« Migration et droits humains : comment structurer une réponse collective efficace ? » sera le thème central de la prochaine édition du Forum de Lisbonne qui sera organisé les 24 et 25 novembre prochain à l’initiative du Centre Nord-Sud du Conseil de l’Europe.
Les dirigeants des 28 pays de l’UE ont appelé jeudi à faire « plus d’efforts pour diminuer les arrivées et accélérer les renvois de migrants irréguliers africains, grâce à des « pactes » avec des pays-clés en Afrique, lors d’un sommet jeudi à Bruxelles.
Une augmentation de 700% des frais de visas annoncée par l’Arabie saoudite pourrait freiner l’investissement étranger, pourtant recherché pour diversifier l’économie du royaume en crise à cause du pétrole, selon des diplomates et des experts.
Promise au démantèlement à partir de lundi, la « Jungle » de Calais où s’entassent sur une dizaine d’hectares entre 6.400 et 8.100 migrants, s’est formée au début de l’année 2015 dans le sillage de la crise migratoire, cristallisant le débat sur les réfugiés.
Les ministres de l’Intérieur d’Italie, d’Espagne, d’Allemagne, de France, du Royaume-Uni et de Pologne (G6), réunis vendredi à Rome, ont affirmé que le rapatriement des migrants en situation irrégulière constituait « un élément
La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a démenti les allégations contenues dans une dépêche de l’Agence France-Presse (AFP) datée du 20 octobre, selon lesquelles une ONG dénonce la « rétention » par les autorités marocaines d’une Congolaise enceinte à l’aéroport Mohammed V de Casablanca en vue de l’expulser, affirmant que la situation de l’intéressée a été gérée dans le plein respect des dispositions juridiques en vigueur.
Les femmes rurales représentent près de la moitié de la main-d’œuvre agricole dans le monde et sont, de ce fait, indispensables pour la survie des communautés rurales en leur assurant la sécurité alimentaire.