De pays d’émigration, dans les années 60, à un pays de transit, depuis les années 90, le Maroc est rapidement devenu un pays d’immigration. La société marocaine est confrontée à un certain nombre de problématiques nouvelles. Il fallait donc changer de politique. Rejetant le tout-sécuritaire, le Maroc opte pour la reconnaissance officielle de l’intégration sociale des sans-papiers résidant sur son territoire…Suite
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Renforcer les capacités des ONG pour favoriser une meilleure intégration des migrants en impliquant davantage les communes dans le processus …Suite
Trois années après son lancement, la politique nationale d’immigration et d’asile plus que jamais plébiscitée par les organisations internationales
Les vigiles algériens n’ont pas chômé, la semaine dernière. Des dizaines d’arrestations ont eu lieu au niveau des frontières maroco-algériennes. Une vraie chasse aux ouvriers marocains désireux de rejoindre le Maroc à travers les frontières fermées depuis déjà vingt ans!
Plus de 23.000 clandestins ont été régularisés depuis 2013 au Maroc, après trois ans de mise en oeuvre d’une nouvelle politique migratoire, a-t-on appris de source officielle.
D’ici quelques mois, un mur protégera les accès au port de Calais, dans le nord de la France, des tentatives répétées des migrants de passer clandestinement en Grande-Bretagne. Cette initiative a soulevé une polémique des deux côtés de la Manche.
Environ 1.100 migrants ont été secourus dimanche au large de la Libye, ce qui porte le total du week-end à 3.400, ont annoncé les gardes-côtes italiens, qui coordonnent les opérations dans cette partie de la Méditerranée.
Le ministre grec chargé de l’immigration, Yannis Mouzalas, plaide pour un « mécanisme européen de retour » permettant d’accélérer les renvois de migrants vers leurs pays d’origine, dans le quotidien Libération de lundi.
Les pays membres de l’Union européenne ont convenu lundi de réduire le budget alloué aux régions pauvres du bloc, principalement en Europe orientale, tout en augmentant les fonds consacrés à la gestion des flux migratoires et à la croissance.
Presque partout en Allemagne, les populistes du parti AfD font salle comble, capitalisant sur l’hostilité aux migrants d’une frange grandissante de la société, mais une autre réalité lui répond: la mobilisation persistante de millions de volontaires pour aider les réfugiés.