Deux ressortissants marocains radicalisés ont été expulsés de France vendredi, a annoncé le ministère français de l’intérieur dans un communiqué.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Paula D’Hondt, ancienne ministre et commissaire royale pour la politique migratoire a estimé que les luttes partisanes et l’échec des politiques d’intégration sont à l’origine de la prolifération des jihadistes en Belgique.
Une quinzaine de membres d’un groupuscule d’extrême-droite allemand ont grimpé samedi sur la Porte de Brandebourg, le momument emblématique de Berlin, pour protester contre la politique d’accueil des migrants par le gouvernement, a indiqué la police locale.
Donald Trump a dévoilé samedi de nouvelles mesures pour endiguer l’immigration illégale, annonçant qu’en cas d’élection à la présidence des Etats-Unis, il ferait en sorte que les ressortissants étrangers soient expulsés du pays à l’expiration de leur visa.
La chancelière allemande Angela Merkel a jugé inacceptable que certains pays de l’Union européenne refusent d’accueillir des réfugiés parce qu’ils sont musulmans, alors que l’Allemagne réclame l’instauration de quotas de répartition au sein de l’UE.
Le gouvernement belge a approuvé, vendredi, un texte de loi qui étend le droit de vote des Belges résidant à l’étranger pour les élections des parlements de région.
Quelque 218.892 Marocains résidant à l’étranger (MRE) ont regagné le Maroc via le poste de Bab Sebta, depuis le début de l’opération Marhaba 2016, le 5 juin dernier jusqu’au 25 août, a-t-on appris vendredi auprès d’une source douanière.
Le trafic de passagers au port Tanger Med a enregistré une hausse de plus de 7% pendant l’année en cours, a indiqué le ministère délégué chargé du Transport dans un communiqué.
Environ 1.100 migrants ont été secourus dans le canal de Sicile dimanche alors qu’ils tentaient de rejoindre l’Europe en bateau, ont annoncé les garde-côtes italiens.
Au-delà d’une laïcité répressive qui prétexte le désordre international et la dilatation des signes religieux dans l’espace public pour ériger une véritable police des mœurs antimusulmane (renforcée par la loi), la « discrétion musulmane » réhabilite plus généralement l’idéaltype migratoire : l’invisibilité, plus exactement, la dépolitisation d’un immigré désormais désenclavé de sa réalité locale.