Ambiance sonore saturée, odeur entêtante d’essence, traînées de vomi sur le caoutchouc… Quand l’embarcation de sauvetage de l’Aquarius s’approche, lundi 18 juillet, du canot pneumatique où s’entassent 136 migrants, elle entre dans un autre…Suite
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Une vingtaine d’opposants de la politique canadienne actuelle en matière d’immigration ont préparé un comité d’accueil au ministre fédéral John McCallum de passage à Toronto, où il participait à une table ronde sur l’avenir des politiques migratoires.
Le Salon abritera durant les trois jours un forum de rencontres et d’échanges directs au profit des Marocains du monde.
Le douzième festival international de la culture amazighe, tenu du 15 au 17 juillet à Fès, a lancé un appel pour faire de la diversité culturelle un levier d’intégration et de développement économique, social et culturel.
Les Emirats arabes unis, pays pétrolier du Golfe qui accueille des millions d’expatriés, ont ordonné aux employeurs d’assurer la gratuité du logement à leurs salariés payés jusqu’à 2.000 dirhams (492 euros) par mois, selon la presse mardi.
Environ 3.200 migrants embarqués sur des bateaux bondés ont été recueillis mardi au large des côtes libyennes et un corps a été repêché, ont fait savoir les gardes-côtes italiens.
A 15 ans, Mariam Khatib n’a qu’un rêve : retourner à l’école. Mais comme pour des milliers d’autres enfants syriens réfugiés au Liban, son accès à l’éducation reste bloqué.
Un total de 166.991 Marocains résidant à l’étranger (MRE) ont regagné le Maroc via les différents points de passage du Nord-Est du Royaume depuis le lancement de l’opération « Marhaba 2016 » et jusqu’au 17 juillet, en baisse de 9 pc par rapport à la même période de l’année 2015.
Le comité de pilotage du « programme régional Initiatives MRE (marocains résidants à l’étranger) dans l’Oriental » (PRIMO) a été officialisé, en tenant récemment sa première réunion au siège du Conseil de la région de l’Oriental (CRO), et en lançant un Espace régional de concertation dédié à la thématique « migration et développement ».
Je suis entrée à Sebta à la nage et sans visa». Ainsi Stella, une Nigériane de 35 ans, installée en Espagne depuis 11 ans, entame son récit. Ses expressions sont tirées du répertoire commun de plusieurs milliers de ressortissants d’Etats dits subsahariens en Espagne, actuellement attrapés entre le spectre du retour au pays d’origine et l’espoir de concrétiser le rêve d’accéder au statut de citoyen de plein droit en Europe.