La fermeture de la route des Balkans renforce la pression sur l’Albanie, un des pays les plus pauvres d’Europe, où se retrouvent déjà piégés des petits groupes de migrants, estiment des sources policières albanaises.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Mohamad Jomaa s’essouffle à raconter les dix jours de marche en montagne, les pots-de-vin à des policiers, ou l’agression par une « mafia » locale: comme des centaines de migrants, ce Syrien s’en remet désormais à des passeurs pour forcer les portes de l’Europe.
Ils se nomment Brahim, Hitoko ou Akim. Ils ne se connaissent pas, ne se croiseront peut-être jamais, mais ont plusieurs points en commun.
Devant les composantes de l’islam de France réunies au complet au Bourget, le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) a ouvert la porte aujourd’hui à une réintégration en son sein de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF).
Le Marocain, fruit d’un brassage culturel de la Méditerranée, de l’Orient et de l’Afrique, a contribué à travers l’histoire à la connaissance et l’enrichissement des autres nations du monde, ont souligné les co-auteurs du livre » Marocains : Migrants et voyageurs « , présenté mardi à Rabat.
«En tant que pays d’origine, nous devons intégrer la diaspora d’immigrés comme facteur de cohésion nationale, même si sa vie est ailleurs»
Les secours maritimes canariens sont toujours à la recherche d’une embarcation de 57 migrants partie à 30 kilomètres au sud de Laâyoune. Depuis la matinée du 13 mai, ces derniers tentent sans succès de localiser le bateau sur lequel se trouvaient les migrants. Le dispositif de recherches a repris de mardi 17 mai.
Alors que les violences contres les immigrés se poursuivent à Mayotte, les ministres de l’Intérieur et des Outre-mer publient un communiqué pour condamner ces violences « Qui n’ont pas leur place dans la République ».
Si le Maroc et l’Espagne coopèrent régulièrement pour effectuer des opérations de sauvetage dans le détroit de Gibraltar, cela n’empêche pas quelques couacs, comme celui qui s’est par exemple déroulé ce mardi.
Agé de 54 ans, le Marocain Abdelhamid Benazzouz a réussi à s’illustrer parmi la communauté scientifique de la ville de Bordeaux en France, grâce à ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et sa contribution à l’innovation d’une nouvelle approche thérapeutique de cette affection neurodégénérative chronique.