Dans le contexte du centenaire de la bataille de Verdun, et en partenariat avec l’Office franco-allemand pour la jeunesse (Ofaj), La Croix retrace cinq initiatives pour la paix. (3/5)
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
L’Australie a défendu sans trembler jeudi sa politique d’immigration extrêmement dure, après l’annonce par la Papouasie-Nouvelle-Guinée de la fermeture d’un camp de rétention, disant qu’elle ne pouvait se permettre d’avoir la « larme à l’oeil » face aux demandeurs d’asile.
La crise de l’euro ? Oubliée. L’afflux de réfugiés ? Endigué. La droite populiste allemande de l’AfD, qui se réunit ce week-end en congrès dans le sillage du succès électoral de l’extrême droite en Autriche, entend désormais faire de la critique de l’islam son nouveau moteur électoral.
Un ouvrage intitulé « les contenus médiatiques occidentaux sur l’Islam à la lumière du Droit international » du chercheur marocain Ali Karimi, professeur à la faculté de Droit de l’université Hassan II de Casablanca, vient de paraître dans le cadre des publications de l’Organisation islamique pour l’éducation, la science et la culture (ISESCO).
Crise des vocations, profs déprimés, performances en berne: la Suède avait déjà mal à son école avant l’arrivée massive de migrants, dont d’innombrables enfants qu’il faut instruire au pas de charge pour assurer leur intégration.
La politique d’immigration extrêmement restrictive menée par l’Australie a été remise en question mercredi, avec la décision de la Papouasie Nouvelle-Guinée de fermer un camp de rétention sur l’une de ses îles où vivent des centaines de demandeurs d’asile.
La création, annoncée il y a deux mois d’une cellule Radicalisme au sein de l’Office belge des étrangers a été matérialisée, a annoncé mercredi le directeur général de l’Office, Freddy Roosemont, cité par les médias belges.
Le parlement autrichien a adopté mercredi une loi qui prévoit la possibilité de décréter un « état d’urgence » migratoire supprimant quasiment le droit d’asile, sur fond de montée de l’extrême droite dans ce petit pays qui a accueilli 90.000 réfugiés en 2015.
L’Italie va proposer à ses partenaires européens d’identifier les migrants sauvés en mer dès qu’ils seront sur les navires venus à leur secours, a indiqué mercredi le ministre italien de l’Intérieur Angelino Alfano.
Le Président portugais, Marcelo Rebelo de Sousa, a affirmé mercredi que son pays veut aller « le plus loin possible » en ce qui concerne l’accueil des réfugiés, formant le souhait de voir leur nombre augmenter dans un avenir proche.