La société civile marocaine et les migrants ont été engagés dans la dynamique associative bien avant le lancement de la nouvelle politique migratoire et d’asile du Maroc, a indiqué, lundi à Rabat, le président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Driss El Yazami.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Les avancées réalisées par la femme marocaine sur les plans politique et social ont été mises en exergue lors d’une rencontre organisée, dimanche, par l’association ‘Asilah pour l’Avenir en Europe », à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme.
Le Centre d’histoire de la Résistance et de la déportation de Lyon invite onze artistes contemporains qui abordent le thème de l’exil.
La noyade d’un jeune Marocain candidat à l’immigration dans le port de Mélilia incite le gouvernement de l’enclave à interpeller Madrid sur l’urgence de l’implication du Maroc dans ce dossier…Suite
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La nouvelle politique migratoire, lancée par le Maroc suite aux orientations royales, entame sa troisième année…Suite
Le Royaume peut se targuer d’avoir régularisé la situation de 24 associations, vu que leurs membres sont tous issus de la migration irrégulière. Une démarche qui traduit l’importance que les pouvoirs publics accordent à la société civile en tant que partenaire de la mise en œuvre de la nouvelle politique migratoire.
Des participants à une rencontre, organisée mercredi à Rabat, ont salué la volonté et l’engagement du Maroc en faveur de la protection des droits des travailleuses migrantes et de la préservation des acquis des employées domestiques.
Parce qu’elles se sont illustrées par leur dynamisme entrepreneurial, plus de 40 femmes marocaines de 19 pays ont été célébrées jeudi dernier à Marrakech. C’était dans le cadre d’une cérémonie organisée par le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger et des affaires de la migration à l’occasion de la Journée mondiale de la femme.
Le Haut commissariat des Réfugiés (HCR) a dénoncé dimanche « les conditions invivables » du campement improvisé d’Idomeni à la frontière de la Grèce avec la Macédoine où s’entassent plus de 14.000 réfugiés qui espèrent la réouverture de la frontière, fermée depuis une semaine.