La Grèce s’est prévalue mardi d’avoir rempli son contrat migratoire envers l’UE à temps pour un sommet européen à haut risque pour elle, avec l’ouverture de quatre des cinq « hotspots » promis sur ses îles et son accord à une mission de l’Otan destinée à tarir les départs des côtes turques.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
La chancelière allemande Angela Merkel s’est opposée mardi à l’idée émise par plusieurs pays d’Europe de l’Est, avant un sommet européen, de fermer les frontières sur la route migratoire des Balkans pour empêcher les migrants de se rendre dans l’Union européenne.
L’Autriche a annoncé mardi l’introduction prochaine de contrôles à douze points de passage de ses frontières avec l’Italie, la Slovénie et la Hongrie pour « freiner » les entrées de demandeurs d’asile sur son territoire.
Les inquiétudes liées à la crise migratoire conduisent l’Union européenne à fermer les yeux sur les violations des droits de l’homme en Turquie, l’UE ayant besoin de ce pays pour faire face à l’afflux de migrants, a déclaré mardi la Néerlandaise Kati Piri, rapporteur du Parlement européen sur la Turquie.
Un groupe de onze pays, dits « volontaires », de l’UE se retrouvera jeudi à Bruxelles pour évoquer le projet d’Angela Merkel de répartir davantage de réfugiés en Europe, directement depuis la Turquie, en échange d’une lutte accrue d’Ankara contre la migration illégale.
Le pape doit plaider mercredi pour la sécurité et l’accueil des immigrés sur le continent américain, dans une visite très symbolique à Ciudad Juarez, le long du grillage qui sépare le Mexique du Texas où il célèbrera une messe transfrontalière inédite.
L’un des points clés du débat entre partisans et adversaires d’un « Brexit », une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, porte sur les conséquences concrètes du rejet de l’appartenance à l’UE par une majorité d’électeurs britanniques, qui restent difficiles à prédire en l’absence de précédent.
Alors que des milliers de réfugiés syriens sont accueillis à bras ouverts au Canada, d’autres demandeurs d’asile reçoivent un accueil bien différent. Chaque année, l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) emprisonne plus de 4000 demandeurs d’asile, dont des centaines d’enfants. L’Organisation des Nations unies (ONU) demande au Canada de changer cette façon de faire, parce qu’elle est souvent contraire au droit international.
Le Sénat néerlandais a confirmé le mardi 16 Février 2016 le vote du parlement mettant fin de façon unilatérale à la convention entre le Maroc et les Pays-Bas sur la sécurité sociale de 1972.
Le comité de pilotage du programme école du vivre ensemble ‘EVE) dans l’oriental a été constitué mercredi dernier. Il s’inscrit dans le cadre du programme régional de coaching territorial en partenariat avec l’Unicef, l’OMI…Suite