Après la montée en puissance de l’extrême droite française, un grand nombre de résidents marocains et étrangers font une évaluation de leur projet migratoire et de leur choix. L’idée d’un retour au pays d’origine s’impose de plus en plus sérieusement.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Lorsqu’elle parle de l’afflux de migrants, Angela Merkel a son mantra « nous y arriverons ». Mais à Cologne des professionnels de l’intégration jugent que l’Allemagne doit tirer les leçons du passé pour éviter leur marginalisation.
Des craintes de représailles xénophobes se font jour en Allemagne après une série d’agressions durant la nuit du Nouvel An à Cologne (ouest), la quasi-totalité des suspects des violences étant d’origine étrangère, selon les autorités allemandes.
L’Autriche va prendre des mesures plus strictes à ses frontières pour refouler les « migrants économiques », afin de réduire le flux migratoire global, a déclaré le chancelier Werner Faymann, qui adopte là un ton plus dur envers les candidats à l’asile.
Si le début de chaque année est synonyme de bonnes résolutions, certains pays de l’UE ont en pris une mauvaise, qui ne sert en rien le sacro-saint principe de l’unité et de l’intégration de l’Europe, tel que rêvé par les pères fondateurs de l’Union, et ont choisi le retour aux contrôles des frontières intérieures.
Le Maroc est devenu un modèle à suivre en matière de gestion des questions liées à la migration internationale, ont indiqué des participants à un colloque international organisé, jeudi soir à Casablanca, sous le thème « futur de la migration internationale: enjeux et défis ».
Mme Merieme Chadid a reçu, 3 Décembre 2015 des mains, du Maire de Londres, Boris Johnson, la distinction de « la femme de l’année 2015 dans les domaines de la Science».
Le gouvernement finlandais s’est dit inquiet jeudi de l’apparition ces derniers mois de groupes d’autodéfense d’extrême droite dans plusieurs villes de Finlande où ils affirment patrouiller pour protéger la population de ce qu’ils nomment « des intrus islamiques ».
Le dialogue interculturel, l’éducation et la promotion de la diversité pourraient constituer des pistes pour favoriser l’inclusion sociale et l’ancrage des valeurs fondamentales de l’Union européenne au moment où le vieux continent s’étouffe dans un climat anxiogène, selon un rapport du Parlement européen.
Mohamed Hajji, président de l’association musulmane de Montauban, est l’un des 150 membres de l’instance de dialogue avec les Français de confession musulmane, mise en place par le gouvernement en juin dernier./Photo d’archives Chantal Longo