Auteur/autrice : Equipe de rédaction

Le vendredi 22 mai s’est tenu à l’université de Tilburg (Pays Bas) le premier colloque du nouveau réseau académique sur les études marocaines aux Bénélux. Le colloque a réuni 14 chercheurs sur des thèmes variés, mais tous reliés à la communauté marocaine à l’étranger.

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Le vendredi 22 mai s’est tenu à l’université de Tilburg (Pays Bas) le premier colloque du nouveau réseau académique sur les études marocaines aux Bénélux. Le colloque a réuni 14 chercheurs sur des thèmes variés, mais tous reliés à la communauté marocaine à l’étranger.

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La ligne Sète-Nador est finalement maintenue, on apprend ce vendredi matin auprès de l’Administration des douanes et des impôts indirects (ADII). La décision a été prise lundi 1er juin lors d’une réunion au port de Béni Ensar sous la présidence du Gouverneur. Réunion durant laquelle « le responsable de ce site a confirmé que la ligne Sète-Nador sera maintenue jusqu’à fin septembre 2015 », précise la même source.

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L’immigration est un arrachement de sa terre d’origine, la relégation urbaine, une peine d’internement dans son pays d’accueil. Le migrant-relégué coalise ces deux expériences. Il cumule le sentiment d’incomplétude suspendu au déracinement et le regard dépréciatif qui résulte de sa mise au ban de la société. La construction identitaire des enfants d’immigrés se révèle alors complexe et combinatoire. L’identité est narration. Celle de l’immigré est vouée tôt ou tard à participer à la construction du roman national. A cette fin, le migrant-relégué use joyeusement de l’artifice. Ballotté entre deux frontières, représenté par les autres comme par lui-même, seul le masque…

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Dans le cadre du projet « Imaginaires migratoires » (INALCO) en partenariat avec l’URMIS et MIGRINTER, cette journée d’études rassemblera, le Lundi 15 juin 2015,  des chercheurs d’horizons différents (sciences sociales et études filmiques) pour interroger la production des imaginaires migratoires par le cinéma.

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L’immigration Italienne ne fut pas « bien reçue ». Quand j’ai l’occasion d’en faire mention autour de moi, on me répond « c’était différent ils étaient catholiques » ! Les Français ne retiennent de leur histoire que ce qui les arrangent. Et si on a le malheur de comparer le traitement actuel des Maghrébins avec celui des Italiens, on a l’air de commettre un crime de lèse-majesté !

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