Des juges, des avocats, des universitaires et des militants associatifs du Maroc et du Danemark se retrouvent les 4 et 5 décembre prochain à Copenhague, pour un regard croisé sur la question du genre avec un accent particulier sur les moyens de renforcer l’accès à la justice pour les Marocaines du monde.
Auteur/autrice : Equipe de rédaction
Le Président américain Barack Obama a annoncé, ce jeudi 20 novembre 2014 dans un discours à la Maison Blanche, la réforme de la politique d’immigration qui empêchera l’expulsion de près de 5 millions d’immigrés sans papiers et leur donnera un statut légal.
Au-delà du transfert de devises vers le Maroc, les Marocains du monde sont des représentants du pays dans leurs patries d’adoption. Dans la politique, les affaires et la recherche scientifique…Suite
En fière représentante du melting pot new-yorkais, « Littel Egypt » s’est greffée à la longue liste des enclaves ethniques qui font la diversité culturelle de l’île nord-américaine…Suite
Sur les 3 millions de Syriens qui ont fui la guerre hors de leur pays, ils sont près de cinq mille à s’être réfugies au Maroc. Dans la panique, fuyant la fureur sanguinaire des combats, ils avaient tout laissé derrière eux…Suite
L’Autriche a décerné le « Prix de performance interculturelle » à la Fondation Orient-Occident, en reconnaissance à son engagement inlassable en faveur des migrantes subsahariennes au Maroc.
Les Marocains demeurent toujours au premier rang des travailleurs extracommunautaires affiliés au régime de la sécurité sociale en Espagne, selon des chiffres officiels publiés jeudi à Madrid.
Le secrétaire d’Etat néerlandais à la Justice et à la sécurité, Fred Teeven, qui reste intransigeant face aux appels incessants pour l’amélioration des conditions des immigrés illégaux, a demandé jeudi aux municipalités de s’abstenir de prendre en charge « les clandestins ».
Deux jours après chaque élection depuis plus de 200 ans, la petite ville de Georgetown bariolée des couleurs américaines enterre littéralement la hache de guerre, une tradition surnommée « Return Day », à laquelle participent sans faillir vainqueurs et perdants du scrutin.
Enseignant le suédois aux immigrants, Ebba Åkerman s’est vite rendue compte qu’elle était la seule Scandinave que fréquentaient ses élèves. Elle décide alors de rassembler des compatriotes et des demandeurs d’asile autour d’un dîner, une initiative qui suscite beaucoup d’enthousiasme malgré la montée de l’extrême droite dans le pays.