Plus de 13 longs et courts métrages abordant des questions humanitaires ont été projetés dans le cadre du Cycle du « cinéma marocain et les droits de l’Homme » tenu depuis le 13 janvier à la filmothèque de la ville de Barcelone (nord de l’Espagne) sous le thème « Après Tanger. Le Maroc d’aujourd’hui ».
Cette manifestation, qui a pris fin mercredi soir, avait été ouverte par le président du Conseil National des droits de l’Homme, Driss El Yazami , le directeur général du Centre cinématographique marocain (CCM), Sarem Fassi Fihri et le directeur de la Filmothèque de Barcelone, Esteve Riambau, et marqué par la participation de 13 réalisateurs marocains.
Initiée par le Conseil national des droits de l’Homme et l’Association art et dignité en action (ARTEDEA), en collaboration avec l’ambassade du Maroc en Espagne et le CCM, cette manifestation, supervisé par l’écrivain et professeur universitaire marocain Larbi El Harti et le poète espagnol David Castillo, vise à lutter contre les stéréotypes et à faire connaître la nouvelle tendance du 7ème art marocain apparue à la fin des années 90 et son engagement en faveur des droits de l’Homme, selon les organisateurs.
En marge de cet événement, des tables rondes et débats ont été organisés, les 15 et 16 courant et animés par des réalisateurs et professionnels marocains avec la participation de Faouzi Bensaid, Narjiss Nejjar, Nourddine Lakhamari, Leila Kilani et l’actrice Marjana Alaoui.
Le cycle a été marqué par la projection de plusieurs films marocains tels que « Nos lieux interdits » de Leila Kilani, « Zéro » de Nour-Edine Lakhamari, « My Land » de Nabil Ayouch, « Les héros de l’inconnu » de Hassan Kher, « A Casablanca, les anges ne volent pas » de Mohamed Asli, « Mort à vendre » de Faouzi Bensaïd, « Rock the Casbah » de Leila Marrakchi, « Amal » de Ali Benkirane, « Courte vie » de Adil Fadili, « Margelle » de Omar Mouldouira, « La main gauche » de Fadil Chouika et « Mokhtar » de Halima Ouadiri.
29 janv. 2015
Source : MAP
