Le projet « Beyond irregularity », sur les migrants clandestins au Maroc, vient de s’enrichir d’une nouvelle étude. Conduite par l’institut de recherche pour la politique publique (IPPR) en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l’Etranger (CCME). L’étude aborde une nouvelle facette de la migration clandestine au Maroc en s’intéressant notamment aux priorités des parties prenantes dans la question de la migration irrégulière au Maroc.

Depuis quelques années, le Maroc est en effet perçu à la fois comme un pays de transit et de destination pour les migrants sub-sahariens : les périodes de migration décrites « comme un transit » sont de plus en plus longues affirme l’étude « même si le nombre de migrants irréguliers reste restreint ». Il avoisinerait 10.000 individus.

L’étude tente notamment de sonder les réponses de l’Etat marocain en matière de migration clandestine et montrer comment la société civile a remplacé certaines failles de l’Etat sur cette question.

Le programme « Beyond Irregularity » a débuté en mars 2011 et devrait s’achever en juin 2013.

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