Dans le contexte des élections régionales belges de juin 2004, le livre expose et vérifie l’hypothèse de la corrélation entre réseaux ethniques et mobilisation des voix des électeurs d’origine maghrébine. Les moyens et réseaux sociaux mobilisés sont passés au crible, en se référant aux théories de communication politique et de la sociologie.
L’auteure est chercheuse à l’Université de Liège. Ses domaines de recherche sont principalement liés à la participation politique des personnes d'origine étrangère, ainsi qu'aux questions liées à la diversité ethnoculturelle.