vendredi 19 avril 2024 23:55
Le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger (MRE), M. Mohamed Ameur, a indiqué, mardi, que son département a pris une batterie de mesures pour promouvoir la situation des MRE, notamment dans les domaines social, culturel, éducatif et en matière de mobilisation des compétences.

M. Ameur a souligné, dans une réponse lue en son nom par M. Ahmed Réda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, lors de la séance des questions orales à la Chambre des Conseillers, que ces mesures concernent notamment la mise en oeuvre d'un projet de soutien des services sociaux des consulats, la réservation d'une part du programme de l'habitat social au Maroc aux MRE à faibles revenus et aux personnes nécessiteuses, en application de l'accord de partenariat signé avec le ministère de l'Habitat.

Ces mesures portent également, a-t-il ajouté, sur le renforcement du service de doléances au ministère, en mettant à leur disposition un système informatisé intégré et un magistrat chargé de leurs affaires, selon un accord signé entre son département et le ministère de la Justice.

M. Ameur a fait état d'autres mesures, notamment la construction de cinq centres culturels, l'organisation des journées culturelles dans certains pays d'accueil, l'élaboration d'un plan d'urgence pour l'amélioration de l'enseignement de la langue arabe et la culture marocaine ainsi que le soutien des associations actives dans les domaines éducatif, religieux et culturel.

Concernant la mobilisation des compétences marocaines résidant à l'étranger pour les associer au développement de leur pays d'origine, le ministre a indiqué que son département à élaborer un plan national pour l'encouragement des investissements des MRE et un plan d'action global visant la mobilisation des compétences ainsi qu'un programme pour la promotion et l'encadrement des associations des MRE.(MAP)
Les îles Canaries ont accueilli depuis l'année 2000 plus de 6.000 mineurs immigrés, arrivés à bord d'embarcations en provenance de l'Afrique, selon une responsable du gouvernement autonome canarien.

L'archipel dispose actuellement d'un réseau de 30 centres d'accueil et d'assistance de ces mineurs étrangers non accompagnés, qui sont financés par le Gouvernement régional, a indiqué vendredi la conseillère du Bien-être Social et de la Jeunesse de l'Exécutif canarien, Inès Rojas.

Parmi ces centres, 22 sont gérés par des conventions signées avec les conseils municipaux dans les sept îles canariennes, et huit autres gérés de manière directe par le Gouvernement de la Communauté autonome, a souligné Mme Rojas.

L'arrivée de plus de 900 mineurs en 2006, année marquée par l'afflux de plus de 31000 clandestins, a provoqué la saturation de ces centres, ce qui a obligé les autorités à transférer certains de ces jeunes vers la Péninsule, a-t-elle ajouté.

Selon des statistiques du gouvernement régional, quelque 756 mineurs non accompagnés sont arrivés sur les côtes canariennes en 2007, et durant l'année 2008, l'archipel a reçu un total de 813 jeunes immigrés contre 160 depuis le début de cette année.

Selon la loi de séjour des étrangers en vigueur en Espagne, les mineurs immigrés non accompagnés sont placés dans des centres sous la tutelle du gouvernement autonome, où ils bénéficient d'une formation jusqu'à l'âge de 18 ans. Après cette période, ces immigrés peuvent régulariser leur situation et chercher un emploi.(MAP)
Le nombre de Marocains résidant en Espagne s'est établi à 710.401 personnes au 1er janvier 2009, soit la première communauté étrangère hors Union européenne, selon des données rendues publiques par l'Institut national de la statistique (INE).

Les Marocains représentent également la 2ème communauté étrangère en Espagne derrière les Roumains avec 796.576 personnes. Les Equatoriens viennent en troisième position avec 413.715 personnes, souligne la même source.

Selon l'INE, la population étrangère a totalisé, au 1er janvier de l'année en cours, 5,6 millions de personnes, en hausse de 6,3 pc par rapport à la même période de 2008.

La région de la Catalogne est celle qui compte le plus grand nombre d'immigrés avec 1.184.192 de personnes, soit 15,9 pc de la population totale de cette communauté autonome, suivie de la région de Madrid avec 1.043.133 d'habitants (16,4 pc du total) et de Valence avec 882.870 personnes (21,7 pc du total).

Selon les mêmes statistiques, la population de l'Espagne est estimée à 46,6 millions d'habitants.(MAP)

Dans le Rhône, sept membres de lacommunauté musulmane, tous volontaires, siègent à la cellule de veille des actes anti-musulmans mise en place jeudi par le procureur général de la cour d'appel de Lyon.

Parmi elles, des personnalités religieuses :

Azzedine Gaci, président du conseil régional du culte musulman (CRCM),

Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon,

Benaïssa Chana, vice-président du CRCM,

Laïd Bendidi, aumônier militaire et recteur de la mosquée de Saint-Fons.
Il faut y ajouter trois représentants de la société civile :

Farid Khelifi, enseignant au collège-lycée musulman Al-Kindi de Décines,

Fouziya Bouzerda, avocate et vice- présidente du club Rhône-Alpes Diversité, 

Zohra Abderrahmane, expert-comptable et vice-présidente du conseil régional des experts-comptables.

Les représentants musulmans de la cellule peuvent être joints au 06.62.29.60.11.


Source: http://www.leprogres.fr/fr/index.html

Plusieurs organisations et acteurs du domaine de la migration veulent combattre les préjugés auxquels les réfugiés et requérants d'asile sont confrontés quotidiennement en Suisse. Par une campagne d'affichage provocatrice, elles souhaitent susciter le débat.

Lire la suite :

http://www.journaldujura.ch/Nouvelles_en_ligne/Suisse/53440#ancContent
Plus de 13 millions de Marocains sont appelés aux urnes le 12 juin pour élire 27.795 conseillers communaux dans 1.503 communes (221 urbaines et 1.282 rurales), avec -pour la première fois- un quota de 12% des sièges réservé aux femmes.

Le nombre d'élus sortants se chiffre à 22.944 mais un redécoupage électoral a eu lieu depuis 2003, date des dernières élections communales, et le nombre de sièges à pourvoir a augmenté.

Le scrutin sera uninominal et de liste (à la proportionnelle dans les communes de plus de 35.000 habitants). 38.248 bureaux de vote seront ouverts à travers le Maroc.

Selon le ministère de l'Intérieur, le renouvellement des élus est estimé à plus de 40%. En effet, seuls 60% des sortants se représentent.

Les candidatures déposées s'élèvent à 130.223, dont 114.939 pour les circonscriptions électorales ordinaires et 15.284 pour les listes additionnelles réservées aux femmes.

30 partis sont en lice dans 221 communes urbaines et 1.282 communes rurales. Seuls deux formations présentent des candidatures dans plus de 50% des circonscriptions: le PAM (Parti authenticité et modernité) et l'Istiqlal (PI), parti du Premier ministre Abbas El Fassi.

Le Parti islamiste justice et développement (PJD) sera présent dans environ un tiers des circonscriptions.

Selon le ministère de l'Intérieur, la répartition des candidatures se décline ainsi pour les principaux partis:

- PAM: 16.793 candidats.

- Istiqlal (PI): 15.681.

- Rassemblement national des indépendants (RNI): 12.432.

- Union socialiste des forces populaires (USFP): 12.241.

- PJD: 8.870.

- Mouvement populaire (MP): 8.595.

- Parti du progrès et du socialisme (PPS): 6.850.

- Union constitutionnelle (UC): 5.989.

- Alliance de la gauche démocratique et partis membres: 5.248.

- Front des forces démocratiques (FFD): 5.216.

Le nombre de candidats sans appartenance politique a diminué par rapport aux élections de 2003 (3.033 candidats en 2003/1.598 en 2009).

Les candidatures féminines s'élèvent à 20.458 (soit 15.7% du total) contre 4.8% en 2003.

AFP

Bruxelles a "accepté" lundi les arguments de l'Allemagne et de l'Autriche, liés à la crise économique, pour restreindre pendant deux années supplémentaires l'accès de leur marché du travail aux ressortissants de huit pays de l'Est admis dans l'UE en 2004.

"Je peux accepter leur conclusion selon laquelle ils connaissent une sérieuse perturbation de leurs marchés du travail, conséquence de la crise économique générale", a déclaré le commissaire européen à l'Emploi Vladimir Spidla, lors d'une réunion lundi à Luxembourg avec les ministres européens des Affaires sociales.

"On doit prendre au sérieux la possibilité qu'un afflux de travailleurs étrangers puisse mener à une hausse du chômage, en particulier chez les groupes les plus vulnérables", a concédé M. Spidla, dans ses commentaires aux ministres.

Les textes européens confèrent à Berlin et Vienne "le droit de maintenir une période de transition jusqu'à la fin avril 2011", a rappelé le commissaire, uniquement en position de prendre acte des arguments invoqués.

"En même temps, j'insiste auprès de l'Allemagne et de l'Autriche pour qu'ils travaillent très activement pour ouvrir progressivement leurs marchés" d'ici là, a-t-il ajouté.

La présidence tchèque de l'UE, qui avait récemment vivement critiqué ces pays, a "pris acte" de la position de la Commission, au cours d'une conférence de presse.

"Je regrette que ces deux pays n'aient pas changé d'avis", a noté le ministre adjoint du travail, le Tchèque Petr Simerka, en jugeant que les restrictions imposées "freinent l'économie".

"S'il n'y avait pas cette crise économique, les choses seraient peut-être différentes", a-t-il toutefois concédé.

Les travailleurs de Pologne, de République tchèque, de Slovaquie, de Slovénie, de Hongrie et des trois pays baltes, tous entrés dans l'UE voici cinq ans, peuvent désormais travailler librement dans tous les pays de l'UE, sauf l'Allemagne, l'Autriche et le Royaume-Uni.

L'Allemagne et l'Autriche exigent des travailleurs qu'ils fassent une demande de permis de travail avant de pouvoir occuper un emploi.

Le Royaume-Uni demande seulement qu'ils s'inscrivent sur un registre après avoir commencé à travailler.

M. Spidla entend "suivre de près la situation pour voir si ces trois pays européens continuent à faire face à une perturbation sérieuse de leur marché de l'emploi" et il "se réserve le droit de leur demander si nécessaire les clarifications qu'elle jugera nécessaires".

Berlin et Vienne arguent qu'une ouverture totale de leurs marchés entraînerait un flux important de travailleurs de ces pays, très proches géographiquement et aux niveaux salariaux rendus encore plus faibles par la crise économique.

Mais la Commission juge au contraire que l'élargissement de l'Europe n'a pas eu d'effets négatifs sérieux sur les marchés de l'emploi, contrairement au spectre du "plombier polonais" longtemps redouté.

La montée actuelle du chômage dans l'UE a déjà conduit à une réduction des flux de travailleurs européens et à une augmentation des retours d'immigrés dans leur pays, selon la Commission. AFP

L'acte fondateur de la création de l'association des Anciens Mineurs Marocains et reconvertis du Nord - Pas-de-Calais (AMMN) a été une réaction militante engagée contre les injustices infligées aux mineurs marocains par les Charbonnages de France, par le gouvernement marocain ainsi que par les autorités françaises.

Lire l'article :

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Douai/actualite/Secteur_Douai/2009/06/05/article_enfants-d-anciens-mineurs-immigres-infor.shtml

Le développement politique, social et économique du Maroc

Réalisations (1999-2009) et perspectives


29 juin 2009 au Palais du Luxembourg (15 ter rue de Vaugirard, 75006 Paris)

Organisateurs : Centre de droit international, européen et comparé (CEDIEC) de la Faculté

de droit Paris Descartes et l'Observatoire d'études géopolitiques (OEG).

Parrainage de M. le Sénateur Christian Cambon

Propos introductifs (10h-10h30)

M. le Sénateur Christian Cambon, président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat.

M. le Doyen Jean-Pierre Machelon, Faculté de droit Paris Descartes

M. Charles Saint-Prot, directeur de l'Observatoire d'études géopolitiques

1ère session (10h30-13h). Présidence de séance : Doyen Jean-Pierre Machelon

Le développement politique

Jean Roatta, président du groupe d'amitié France-Maroc à l'Assemblée nationale, Chargé du

suivi du projet présidentiel de l'Union pour la Méditerranée: Le Maroc et la France.

Fréderic Rouvillois, professeur Paris Descartes: L'Etat de droit, les libertés publiques.

Jean-Yves de Cara, professeur Paris Descartes, directeur du CEDIEC: Une monarchie

nationale

Doyen Michel Rousset, professeur émérite de la Faculté de droit de Grenoble: La poursuite de

la modernisation de l'Etat.

Thierry Rambaud, professeur agrégé de droit public, directeur des études à l'ENA : L'Ecole

nationale d'administration marocaine.

Doyen Michel de Guillenchmidt, professeur Paris Descartes : Les provinces du sud, le projet

d'autonomie.

Doyen Jean-François Poli, professeur à l'Université de Corse : Un acteur du dialogue des

civilisations.

Déjeuner-buffet (offert) : 13h-14h15 (salle René Coty)

2

2ème session (14h30-17h30). Présidence de séance : Frédéric Rouvillois

Le développement social et l'identité nationale:

Charles Saint-Prot, directeur de l'OEG: Le Commandeur des croyants et la réforme du champ

religieux. L'Islam du juste milieu.

Mme Florence Jean, maitre de conférences à l'Université de Corse : La Moudawana.

Olivier Galland, sociologue, directeur de recherche au CNRS : Essai d'analyse des valeurs

du Maroc.

Mme Zeina el Tibi, présidente de l'OEG, journaliste : le Roi Mohammed VI et la solidarité.

Harmoniser l'économique et le social.

Mme Dominique de Courcelles, directrice de recherche au CNRS, enseignante à l'École

Polytechnique : Le développement social (INDH).

Le développement économique :

Stève Gentili, Président de la BRED-Banque populaire, Président FFA : Bilan et perspectives.

Henri Védie, professeur HEC : Les réalisations et les grands projets de développement

Emmanuel Dupuy, président IPSE : Le Maroc et l'Union européenne

Conclusion

Comité scientifique: Jean-Yves de Cara, Frédéric Rouvillois, Charles Saint-Prot, Henri-Louis

Védie.

Publication des actes : OEG, Paris Descartes + éditions du CNRS

Dir. de publication : Jean-Yves de Cara, Frédéric Rouvillois, Charles Saint-Prot.

Date : 29 juin 2009 de 10h à 17h30 (déjeuner-buffet offert).

Lieu : Palais du Luxembourg, 15 rue de Vaugirard 75006 - Paris

Enregistrement des participants: 9h15-9h45. Les formalités d'enregistrement seront closes

à 9h45.

Inscriptions. L'accès au colloque est réservé aux personnes préalablement inscrites :

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Renseignements- Contact :

T. 01 77 16 31 12 M. 06 43 83 65 42 Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
La Malaisie a mobilisé des hélicoptères, des navires et un avion sur ses côtes pour lutter contre les immigrants illégaux venus du Pakistan et d'Afghanistan.

Depuis mars, quatre bateaux de migrants, 14 Indonésiens, 58 Afghans, 37 Pakistanais, et trois Irakiens, ont été interceptés en tentant de franchir le détroit séparant la Malaisie et l'Indonésie, d'après les statistiques de l'Agence malaisienne de régulation maritime.

"C'est une nouvelle tendance pour nous en Malaisie" a souligné le secrétaire général du ministère de l'Intérieur, Mahmoud Adam, dans un entretien à la presse.

La plupart des immigrés clandestins appartiennent à la classe moyenne et fuient la guerre en Afghanistan ou dans les zones frontières du Pakistan et recherchent une vie meilleure, a ajouté le responsable malaisien

Ces immigrants clandestins quittent, ensuite, la Malaisie illégalement sur de petits bateaux trop chargés pour passer en Indonésie, et de là, tentent de faire route vers l'Australie qui leur accordera l'asile.(MAP)

SG au JT de 2m: spécial programmation de la journée internationale des migrants

Les entretiens du symposium

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